Gabrielle abuse du Lexomil, avalé à grandes lampées d’Armagnac et enchaîne les amours catastrophiques avec de beaux mufles qui la laissent sur le carreau.
Loulou se fout des autres, et n’aime que son fils.
Quant à Hélène, au bord de l’implosion, elle tente désespérément de se donner le change par un optimisme forcené.
Sous l’œil narquois d’un garçon de café en pleine crise de misogynie aigüe, les trois femmes, se sont de prime abord regardées en chien de faïence... mais ce qui s'annonçait comme une journée pourrie pourrait bien devenir la main tendue par l'amitié et la complicité qui les aidera à traverser une période délicate de leur vie.